Oui, en ce moment, je ne communique plus qu’ainsi avec ma Fée Delf. 😉
Pour vous la faire courte :
J’ai vu la Carme.
Je suis tombée in love de la Carme.
J’ai attaqué la Carme en duo avec ma copine Delf.
Pourtant c’était pas gagné. Au vu de certains de mes « atouts », j’ai tendance à fuir les plastrons comme la peste. Mais ça, c’était avant… avant de découvrir les premières cousettes de ce modèle sur IG.
Donc, après quelques échanges de Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’ai repris légèrement le patron en l’allongeant de 4-5 cm et en réduisant d’une bonne taille sous poitrine. Une toile s’imposait et c’est là que j’ai découvert un sérieux problème de pinces poitrine. Bien trop hautes pour moi (pas que pour moi au final).
Petite parenthèse concernant le patron. Je tiens à signaler que les différentes pages imprimées sont un régal à assembler, aucune fausse note. Les vidéos présentées sur le blog en Anglais, Espagnol et surtout en Français (oui oui Delf, en français aussi 😆 ) m’ont été très utiles. Merci Pauline Alice pour cette attention.
Donc après la toile, nouvelle modif du patron en abaissant de 2.5 cm les pinces et choix final du tissu. Rhoooo je le kiffe ce voile de viscose. Il est tout doux, très léger et ultra fluide… si en plus, je vous dis le prix, vous allez halluciner (5 €uros les 3 mètres 😳 ).
Dernière modif, les manches 3/4 avec un bracelet de manches ouvert. Pourquoi ? Le tissu étant léger, ce haut est le compagnon idéal des beaux jours, donc pas de manches longues. Et la version, manches retroussées- boutonnées, a un petit côté masculin qui ne me plaisait pas avec ce modèle.
On peut dire que j’aurai pris mon temps pour « sortir » la collection printemps-été cette année… envie de tout, envie de rien, pas beaucoup de temps à consacrer à mon blog, pas beaucoup de temps pour moi tout court d’ailleurs !
Bah oui, j’ai été raisonnable ces derniers temps et j’ai passé les malheureuses heures qu’il me restait de dispo quelques heures sur ma MàC et non sur mon MAC (heuuuu j’ai un PC 😀 , mais c’était pour le jeu de mots).
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On commence par les couleurs.
Rien d’original à venir. Je n’arrive décidément pas à sortir de ma zone de confort… pire encore, ces dernières semaines, je n’ai guère porté autre chose que du noir.
Donc c’est reparti pour du noir, du blanc, du rouge, du bleu et leurs variantes.
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Côté modèle, la liste risque fort d’évoluer au fil des semaines. Mais au jour d’aujourd’hui, j’ai besoin absolument d’un nouveau trench. Le modèle Lekala m’a carrément fait craquer avec son double col et ses manches originales à souhait.
J’ose même l’imaginer en popeline blanc cassé avec une doublure satin Graouuuuu.
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Dans les indispensables, je case aussi la petite veste à porter seule, comme un chemisier, et qui s’accorde aussi facilement avec une jupe qu’un pantalon. Encore un modèle Lekala(vous allez en manger un certain temps 😯 ), encore un modèle original, qui est à la base une blouse.
La doublure est déjà cousu et m’a servi de toile. J’avais pensé, au départ, l’associer avec un fin lainage bleu à petits carreaux tons sur ton. Ouchhhhh ! Aligner des carreaux sur un modèle raglan s’avère mission ‘presque’ impossible. De la microfibre noire sera parfaite (et moins casse-c…e !).
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Dans les coups de coeur du moment, j’ai craqué pour la Carme Blouse de Pauline & Alice… et c’était pas gagné ! Je fuis les plastrons comme la peste. C’est typiquement le genre de modèle qui ne va à ma morpho. Pourtant en voyant les différentes versions fleurir un peu partout, j’ai trouvé la coupe intéressante et potentiellement portable.
Un article est à venir, puisque la version 1 (viscose noire imprimée plumes blanches) est déjà passé sous le pied de la MàC, déjà portée et m’a convaincue de lui offrir une petite soeur en crêpe georgette bleu nuit légèrement transparente (so sexy).
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Pour rester dans les petits hauts, un autre modèle Lekala(bah oui encore, j’ai prévenu, fallait lire 😆 ). OK ! Le dessin technique ne fait pas envie comme ça, mais cette blouse a un très très fort potentiel.
J’hésite encore pour le tissu, une microfibre crème. J’ai un peu peur que le tissu soit trop fluide, surtout pour la partie basse. Une toile s’impose de toute façon.
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Après les hauts, il faut bien la jupette pour aller avec. Elle est sympa non ?? Lekala power ! Et là, il va falloir que je fasse un tri draconien dans mon dressing. Les 2/3 de mes jupes sont devenues trop larges (malgré des passages répétés dans le sèche-linge), elles tombent sur les hanches et elles tournent. Pas vraiment cool de se retrouver en fin de journée avec les coutures côté sur le devant. 😯
Je recherche d’autres modèles sympa, si vous avez des idées, je suis preneuse.
Pas de surprises avec une version noire pour le bureau, ça reste pour moi une valeur sure. Et dans la foulée, une version blanche ! Parce que oui, Cristina l’a dit : Ma chérieeeeeee, le blanc, quand on a des rondeurs, ça ne grossit pas. Et le total look blanc, ça allongeeeeeee la silhouette ! Oui oui, elle l’a dit ! 😀
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Et vous avez l’habitude, une collection sans robe, ne serait pas une VRAIE collection. J’ai repris le modèle Simplicty 2217 (déjà cousu l’hiver dernier) et portée un nombre incalculable de fois.
Le haut est déjà coupé dans une microfibre bordeaux (je kiffe grave la microfibre, je regrette de ne pas en avoir commandé des rouleaux entiers) et du fait de sa fluidité et de sa légèreté, je compte entièrement doubler la robe dans un satin imprimé d’inspiration années 70. Après réflexion, je crois que je vais modifier la ceinture (moins large) et la jupe (1/4 de cercle).
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Allez, courage !! Votre calvaire arrive à sa fin, avec cette dernière robe. C’est typiquement le style de petite robe rétro que j’aimeeeeeeeeeeee. Elle vous rappelle peut-être la Cami Dress de Pauline & Alice ? Imaginez que j’ai failli la commander, quand je me suis souvenue que j’avais depuis des lustres un modèle ressemblant, la Simplicity 1880.
Le tissu est une viscose somptueuse, bleu nuit avec un seul des côtés imprimé blanc. Je ne sais pas vraiment comment j’utiliserai le tissu : juste le haut avec l’imprimé ou uniquement le bas ou encore sur toute la longueur…
J’ai l’espoir fou bon espoir de réaliser la totalité de ces modèles. Mais il va falloir que je m’active, ne serait-ce que pour le trench. L’été risque d’arriver trop vite.
La tentation de craquer pour des modèles vus et revus un peu partout sur la blogosphère est souvent grande. Pourtant, à y regarder de plus près, nombreux ont des coupes mal pensées, des patrons non maîtrisés voir des copies simplifiées et ne parlons même pas du prix… Et parfois, au milieu de tout ça :
Il y a des évidences.
C’est ce que j’ai pensé lorsque j’ai repris la couture, il y a quelques mois, et découvert les patrons Deer & Doe. Eux et moi allions faire un bout de route ensemble.
Tout d’abord, je constate que les modèles s’adaptent vraiment à tout type de morphologie (pas besoin de faire 1m80 et 45 kg toute mouillée).
Ensuite, les variations autour d’un seul et même patron sont nombreuses (pour vous faire une idée, allez sur le blog des addicts).
Certes, on peut se dire que le prix reste élevé par rapport au prix d’un magazine Burda. Mais au final, c’est juste incomparable. Qualité et soin sont apportés à chaque pochette. Les instructions du livret sont claires, les marges de couture comprises, les patrons lisibles… Et Eléonore, la créatrice de cette petite marque française, assure un excellent suivi via son blog.
J’ai jeté mon dévolu sur l’Airelle pour débuter. Pour cette version, un coton blanc rayé ton sur ton et les chutes de coton noir utilisé pour la tunique goutte d’eau me paraissaient parfaits.
Les seules modifications apportées sont :
Un passepoil fait maison.
Une encolure plus creusée et parementure plus large.
Une bande noire ajoutée pour allonger la tunique.
J’avais vu juste ! C’est un régal à porter et j’adore le chic de cette tunique.
Tissus : Myrtille – Patron : Airelle de Deer & Doe
Un prix un peu élevé pour cette première Airelle, mais j’ai déjà quelques idées pour amortir rapidement le patron : une version combinant du voile (ou dentelle) et du coton, une autre avec un boutonnage dos, encore une dans une forme blouse, …, et plus encore !
Pour le moment, je me concentre sur les tests de ma future robe. Il me reste 4-5 jours si je veux l’étrenner pour l’anniversaire de ma Môman. Et je suis encore sur les modifications de la toile. 😯
Je vous souhaite une bonne fin de wee-end avec Étienne Daho (l’un des beaux-gosses de mon adolescence) – Ouverture.
Avec quelques heures d’avance, me voilà de retour avec le défi Combo Mésange. J’ai vraiment aimé travailler ces couleurs, même si j’ai changé 10 fois d’idées en cours de route.
N’ayant pas de tissu qui regroupe la totalité de ce combo, j’ai tenté d’assembler ce que j’avais (pour un résultat plus ou moins probant). Et au final, je ne vais présenter que 3 réalisations. La 4ème n’est toujours pas finalisée.
Pour commencer, je vous montre la robe « canard ». Et comme chaque vêtement que je couds, cette robe a son histoire.
Tout est parti des dos boutonnés que j’ai vu pulluler un peu partout depuis des semaines. Si je m’écoutais, j’en mettrais à toutes mes fringues (j’ai encore 2-3 projets en tête d’ailleurs).
Déjà portée plusieurs fois, c’est un vrai bonheur. Elle est fluide et suis tous les mouvements. A assortir avec le tour d’épaule ou le petit gilet moutarde de ma garde-robe.
Impossible à photographier, je vous assure pourtant que ce tissu est vraiment bleu canard.
Pour le second projet, je suis partie sur un ensemble blouse/jupe.
La blouse m’a été inspirée par Hachis Parementure. Renseignement pris, j’ai testé sur une toile et le résultat m’a plu. Pour la jupe crayon, rien d’original, si ce n’est que j’ai ajouté 2 liens à nouer (recyclage de la robe « Drame »).
Je vous montre tout de même la 4ème réalisation inachevée. Il s’agit d’un sac. Mais il a été mis de côté, n’arrivant pas à obtenir exactement le résultat que je veux !
Je ne vais pas en ajouter plus, ce billet est suffisamment long comme ça 😕 mais pour celles qui ont participé au défi, c’est à votre tour.
Ajoutez dans les commentaires, le lien vers votre article ou la photo de votre réalisation. Je ferai un montage dans quelques jours.
Après vous en avoir parlé ICI avec une toile en coton noir, puis ICI avec un tuto pour ajouter une doublure et enfin ICI pour le défi des Serial Défieuses, ma fameuse petite veste d’inspiration Dior est ENFIN terminée. Pour être plus exacte, j’ai ENFIN trouvé un peu de temps pour quelques photos !
Pour la petite histoire…
Tout a commencé lorsque, au détour d’une balade dans les méandres de google images, je suis tombée nez à nez avec un ensemble blanc cassé de Christian Dior. J’ai tout de suite accroché avec la très jolie veste style spencer sans col. J’avoue, je suis littéralement tombée amoureuse de cette veste.
J’ai longuement hésité entre deux patrons Burda, la veste Chanel et la veste Dior (oui, je sais, un peu paradoxal… mais c’est tout moi ça 😕 ). Et j’ai effectivement pris le modèle Dior.
Pour les modifications apportées au patron :
Suppression des poches.
Réduction d’une taille au niveau de la taille et des hanches.
Au final, la veste est un peu grande avec un tee-shirt alors que la toile faite en coton noir tombe impeccablement. Le bon côté des choses est qu’elle permet de porter facilement un pull fin en dessous.
J’ai encore quelques petites choses à vous montrer, mais je les garde pour la fin du mois 😀 . J’en profite pour vous rappeler qu’il reste pratiquement 2 semaines pour participer au défi Combo Mésange… Pensez à ajouter le 30 avril un message dans l’article précédent avec un lien vers votre création et je compilerai le tout.
Et pendant que j’y suis, je vous glisse une super occaz’ pour participer à un jeu, avant le 24 avril, organisé par l’adorable Clo’s (au cas où vous ne la connaissez pas encore, foncez sur son blog). Une très jolie création de votre choix parmi les patrons Deer&Doe a gagné pour le premier anniversaire de son blog.
Je file et vous laisse en musique avec Hooverphonic – Mad About You.
Sur T&N, certains membres ont lancé une discussion sur une garde-robe « réfléchie » ou comment remplir son armoire intelligemment.
Rhooooo !! Comme si MOI, je craquais sur tout et n’importe quoi ?!!? Comme si je devenais hystérique devant une petite robe en dentelle ultra habillée que je ne pourrais porter qu’une fois tous les 10 ans ??!? Comme si mes rêves étaient hantés par une petite veste canard impossible à assortir avec quoi que ce soit ??!? Comme si, partie acheter deux boutons noirs, je revenais avec 4 coupons de tissus bariolés ??!?
Non, mais MOI ??!? La fille hypra raisonnable qui ne craque jamais… 😀
Bref ! J’ai décidé de faire les choses bien et prenant exemple sur Clo’s(dont j’adore la patte couturesque), je me suis lancée dans la création de :
Planches d’inspirations.
On commence par les couleurs.
Bien entendu, impossible pour moi de zapper le noir et le blanc… auquel cette année s’ajoutera le beige, blanc-cassé, crème et autres déclinaisons. Il s’agit là des basiques.
Côté VRAIES couleurs, la liste est extrêmement réduite : du bleu (beaucoup de bleu), du rouge (impossible de m’en passer) et du jaune (moutarde, soleil ou encore citron).
Viennent ensuite les modèles.
La jupe droite et crayon restent mes chouchous. Et comme le patronage maison de ces jupes n’a plus de secrets pour moi, le vent de l’inspiration des grandes marques soufflera fort.
Les robes ne seront pas en reste avec quelques déclinaisons de la 4 saisons et surement un essai de robe fourreau.
J’en avais déjà parlé, je compte également refaire la veste Dior identique à celle-ci, en crème cette fois. Ça me permettra de casser le côté sombre du noir et du marine.
Ajoutez à cela quelques tuniques chemisiers en blanc et en noir, et mon armoire sera prête à craquer à accueillir le printemps.
J’ai déjà fini deux jupes noires et blanches pour aller avec la petite veste Dior, une tunique grise et je commence la seconde veste dès la semaine prochaine. Il n’y aura plus qu’à attendre le retour du soleil pour faire quelques photos.
Je vous souhaite une bonne fin de week-end et vous laisse en compagnie de Zazie – Je t’aime mais…